La Cité d'Agarta RPG
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 Une tranquille petite traversée

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Moïra Tigrane

Moïra Tigrane


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MessageSujet: Une tranquille petite traversée   Une tranquille petite traversée Icon_minitimeLun 5 Mai - 18:58

Moïra Tigrane poussa un soupir. Bon, que faire, maintenant ? Le clodo gisait mort à ses pieds, et elle n'avait toujours pas retrouvé ses lunettes. Misère...
La jeune femme ne voyait le décor qu'à travers une nappe blanche, légèrement transparente, qui lui laissait entrevoir des formes de buissons, d'animaux, des silhouettes humaines, entre autres. A tatons, à genoux dans la terre humide, elle cherchait désespérément ses lunettes noires.
Quelques secondes plus tôt, elle avait été heurtée par un type répugnant qui avait tenté de lui voler son sac de voyage. Ce qui protégeait son regard fragile de la lumière du jour avait été projeté on ne sait où. Furax, Moïra avait dégainé son couteau de chasse et tranché d'un coup sec la carotide du gus poisseux. C'était déjà ça de fait.
Plongeant sa main nue dans un bosquet, elle sentit sur son index la morsure d'un rat.

Bien, bien. Génial. Qu'allait-elle attraper, maintenant ? La gale ? Il ne manquait plus que ça. Elle aurait l'air maligne en se pointant à Agarta malade comme une chienne, le jour où elle devait prendre ses fonctions. Déjà que sa posture présente était assez ridicule comme ça... Elle espéra que personne ne la verrait dans cet état, aussi sale que le gars qu'elle venait de buter, pataugeant dans une mare de sang et palpant le sol boueux comme une aveugle.
Au moment où sa main se referma miraculeusement sur ses lunettes, elle perçut des coups de feu non loin d'elle. Des impacts de balle dans des corps vivants et dans des murs en béton. Des cris d'effroi.
La jeune femme se releva, replaça ses lunettes sur son petit nez en trompette, rassembla ses affaires et se mit à courir en direction de la baston. A peine suicidaire, la nana.

A présent qu'elle voyait enfin quelque chose, à travers ces parois sombres, elle parvint à distinguer des réfugiés qui se faisaient lâchement descendre par une bande de pilleurs. Lesquels pilleurs se faisaient eux-mêmes dégommer par une dizaine de militaires en uniforme bleu. Elle sut sans hésiter où était sa place et, brandissant son P90 tout neuf, tira dans le tas de pilleurs. Les deux ou trois survivants se carapatèrent en hurlant hors de la scène. Ils n'avaient jamais vu pareille démone se jeter devant eux sans craindre la mort.
Moïra baissa son arme. Les réfugiés la fixaient sans rien dire, des yeux de poisson au milieu du visage, tandis que les militaires s'inclinaient avec respect devant Terminator.
L'un d'eux s'approcha d'elle.


- Nous allons à Agarta, et nous serions honorés de votre présence parmis nous, Madame.

- Mademoiselle, répondit sèchement Moïra. Agarta ? Ouais... c'est aussi ma destination.

Sur ces mots, elle ramassa le sac qu'elle avait envoyé valdinguer dans un coin à son arrivée, le mit sur son épaule et cracha son chewing-gum sur un cadavre de taupe en décomposition. Elle croisa le regard de l'un des convoyeurs, un asiatique un peu trop fin pour le métier, qui la fixait sans rien dire, apparemment impressioné par sa prestance.
Elle se força à montrer sa première expression sympathique de la journée, et lui sourit plutôt gentiment. Visiblement, ce jeune homme n'avait pas l'habitude de sourire, lui non plus. Il esquissa une moue un peu étrange, mais ses yeux bleus suffisaient pour la remercier de son arrivée... qui était tombée à pic, sans doute. Ils étaient en mauvaise posture, et les pilleurs s'étaient fait dessus lors de son entrée fracassante... Résultat, 1-0 pour les agartiens.

Les convoyeurs rassemblaient les réfugiés en prononçant des paroles rassurantes. Ils leur promettaient que désormais leur sécurité serait assurée, et qu'ils auraient une vie meilleure. La plupart d'entre eux devait errer dans les ruines de la civilisation terrienne depuis bien longtemps...
Moïra remarqua une mère tenant la main d'un petit garçon, un bébé placé sur son dos dans un bout de parachute. Ils semblaient apeurés, et pourtant si forts. Ils résistaient à l'invasion depuis un bon moment. Moïra, elle, n'avait pas eu à survivre de cette façon. Du moins, pas pendant aussi longtemps... Elle se rappela son passé, et tenta de le chasser de ses pensées.

Les militaires l'invitèrent à suivre le convoi. Les réfugiés encadrés par des Rambos surarmés s'exaltaient en parlant de leur vie future. Au sujet de la première chose qu'ils feraient en arrivant, les uns disaient qu'ils mangeraient un bon repas bien gras et passeraient leur digestion à faire la sieste dans un bon lit, les autres prendraient un bain, et certains iraient troquer leurs frusques dégueulaces contre de beaux vêtements. Tout ceci était bien secondaire... Il leur faudrait d'abord passer tous les contrôles avant d'entrer, se faire recenser, trouver un endroit où dormir puis se faire attribuer leurs fonctions dans la cité. Faute de quoi ils ne pourraient pas rester bien longtemps...


Après quelques lourdes portes en fer à ouverture électronique, tout le groupe s'engouffra dans un long tunnel faiblement éclairé, renforcé tous les cinq mètres par des armatures en acier. Des petits néons éclairaient l'endroit sur toute sa longueur. Juste ce qui fallait comme lumière pour circuler, et pour ne pas ruiner la cité en électricité. De plus, cette faible lueur était apaisante, même pour Moïra qui retira enfin ses lunettes noires.
La jeune femme ralentit le pas, laissant toute une famille d'estropiés passer devant elle. La plupart de ces gens étaient vêtus de guenilles, courbés comme des clochards boiteux, le regard empli d'un sentiment de sécurité. L'un épongeait le sang de l'autre. Les vieillards et blessés presques inconscients étaient soutenus par de plus robustes gaillards.
D'après l'un des convoyeurs, le moyen de transport qui les attendait n'était plus très loin, désormais. Il était temps. Ils avançaient tous les uns derrière les autres, encadrés de gonzes en tenue de camouflage, aussi expressifs que des bulldozers.
La jeune femme s'arrêta, intriguée par un accès en perpendiculaire du tunnel. Un accès verrouillé par une lourde porte renforcée. Qu'il y avait-il donc derrière cette porte ?


On lui avait donné rendez-vous à l'entrée de la cité de Solie. Pensant rencontrer quelques pilleurs voire des soldats zagoriens, elle s'était armée des pieds à la tête. Ces convoyeurs qui l'avaient entraînée avec eux la prenait pour une réfugiée. Jusque-là, elle n'avait pas dévoilé son identité, elle profitait d'être incognito pour découvrir les lieux et ceux qui y vivaient.
Mais cette situation ne durerait peut-être pas très longtemps, car elle trébucha soudainement sur une petite vieille qui s'était écroulée devant elle, et s'écrasa lourdement sur le sol. Le choc sur son menton fit vibrer sa mâchoire et manqua de lui décoller les dents... Mais elle en avait vu d'autres, et s'en tira sans aucun bobo. Moïra ramassa la vieille, l'invita à passer devant, puis se remit à marcher derrière elle.
Au bout de quelques minutes, elle remarqua tout d'un coup que ses plaques militaires valsaient sur sa poitrine. Elle s'assura que personne ne les avait remarquées, puis les rangea dans son décolleté, mine de rien.

Elle remarqua par la suite la présence d'un type qui la suivait. En même temps... il était un peu obligé de la suivre, vu qu'ils allaient dans la même direction. Mais elle s'étonna de le voir se rapprocher d'elle. A chaque fois qu'elle se retournait vers lui, il lui adressait un doux sourire.
Pauvre niais... Oserait-il l'aborder ?
Oui. Il finit par l'aborder.
Il tenta d'abord de lui parler de la pluie et du beau temps, mais comprit rapidement son erreur lorsqu'il lui mit une main aux fesses et qu'elle lui cassa l'articulation du coude en un geste vif et précis, sans prévenir.
Un militaire qui accompagnait le groupe se retourna en entendant les gémissements... Mais il y avait tant de personnes qui gémissaient qu'il pensa qu'il ne s'agissait que d'un réfugié blessé... Blessé avant d'être rentré.
Moïra ne supportait pas les hommes, encore moins les séducteurs à la noix. Depuis son enfance, elle leur vouait une haine certaine, et se jurait de ne plus leur faire confiance. Ni même de les aimer...
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Kateya Mahala

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MessageSujet: Re: Une tranquille petite traversée   Une tranquille petite traversée Icon_minitimeSam 7 Juin - 0:02

Aller encore un peu plus…

Kateya lachâ prise et repris son souffle avant de retendre ses muscles à leur maximum et de pousser… Rien, elle était vraiment coincé, elle savait qu’il suffisait de peu de chose pour qu’elle puisse passer mais non, ce peu de chose était occupé par ses vétements.
Vous vous demandez ce qu’il lui arrive cette pauvre fille ?
Ben c’est très simple, elle était entrée dans ces souterrain pour trouver la cité qui s’y cachait, maleuresement pour elle, elle s’était d’abord perdu puis ensuite de galleries et tunnel elle s’était retrouvé ici, à à peine un kilomètre de la porte de la citée. Mais voilà, elle : la femme serpent était coincée. Kateya était victime de son physique : elle possèdait un torse de femme, son visage était certes défiguré mais au moins elle ressemblait à une fille… Jusqu’à ce que vous voyez les immenses ailes qui parent son dos. L’une était un squelette de fer doré, décorée comme une œuvre d’art l’autre semblait plus naturel : des os reliés entre eux par des feuille de papiers souples, parfois déchirées mais surtout pleines de dessins et de mots, des prières. Ces même ailes handicapaient aussi al jeune femme : elle étaient coincé entre les jambes de l’ange et la pierres de la galerie. En parlant des jambes tiens, il semblerais que la jeune femme soit coincé au niveau des genoux… Pourtant ses genoux ne doivent pas être aussi énorme que le passage dans lequel elle était non ? Vous ne pouvez pas très bien voir, son manteau vous cache cette partie de l’anatomie. Mais si vous vous approchez vous verrez : Kateya n’a pas de jambes. Ele possède un corps reptilien, couvert d’écailles blanches et luisantes. Mais pas huileuses pour autant, sinon elle ne serait pas coincé aussi bêtement.

Et voilà la jeune fille qui recommence à pousse sur la roche de ses bras qui paraissent bien frêle par rapport à son corps entier, pourtant à bien les regarder seuls à seuls ils sont tout de même bien musclés, vous remarquer alors une longue tige de fer sur le sol, non loin des mains de la jeune femme. À mieux y regarder ce n’est pas une simple barre de fer, l’une des extremitée semble avoir été forgée pour une serrure, une serrure énorme… C’était bien une clef, pourquoi cette ange portait-elle une clef aussi immense ? Peut-être la porte de chez elle, après tout pourquoi pas.
Un son strident vous fait alors serrer les dents et crisper les doigts : l’aile faîte de fer viens d’avancer en créant le son désagréable du métal glissant contre la roche inégale de la paroi.
L’ange relâche alors la prise, un léger sourire sur les lèvres, elle doit être contente d’avancer un peu son corps. Chaque centimètres de gagner est une victoire pour elle ; depuis combien de temps elle était là ? Trop à son gout…

Mais au moins cette dernière victoire, du moins elle l’espérait, résoudrait les choses : le bruit avait peut-être été entendut par delà la citée, elle comptait sur le pouvoir du son et de l’écho, elle aurait pu utiliser son pouvoir de l’air pour pousser ses appels au loin mais elle n’osait pas. Elle craignait que les gens la voit, certes cette posture n’était pas des plus esthétique, c’est pour ça qu’elle espérait de tout son cœur que quelqu’un l’entende et lui vienne en aide.
Mais en même temps, vu son physique cette personne pourrait tout aussi bien s’enfuir en hurlant au monstre, alors viendrait une horde de villageois armés jusqu’aux dents qui l’achèverait sans qu’elle ne puisse faire quoique ce soit. C’est pour ça que lorsque des bruits de pas ce firent entendre elle saisit sa clef et la serra dans ses mains, au moins elle pourrait essayer de se défendre.
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Moïra Tigrane

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MessageSujet: Re: Une tranquille petite traversée   Une tranquille petite traversée Icon_minitimeDim 8 Juin - 13:28

Moïra avait accéléré le pas, elle commençait à s'ennuyer. La plus grande partie de la traversée des galeries s'était faite en vagonnet, mais pour parcourir les derniers mètres, il fallait de nouveau marcher.
La jeune femme était particulièrement pressée de se rendre à Agarta. Une nouvelle vie commençait pour elle, et d'ailleurs également pour tous ces gus malades et affamés qui avançaient derrière elle... Elle avait hâte de prendre ses fonctions, et de visiter la cité. La grotte l'intéressait plus particulièrement...

Son regard sillona la troupe en file indienne quelques instants. Puis elle regarda à nouveau devant elle, et quelque chose d'étrange attira son attention : un monstre ailé s'agitait quelques mètres plus loin, en mauvaise posture apparemment. De grandes ailes asymétriques remuaient dans le vide. Une longue protubérance blanche et recouverte d'écailles se traînait sur le sol bétonné.
Où était la tête, où était le derrière ? A n'y rien comprendre... Moïra n'avait jamais rien vu de tel.
Elle releva le viseur de son P90, en direction de la bête qui se débattait, et s'arrêta à un mètre ou deux de l'étrange créature. Les militaires en firent de même. Le chef du convoi s'approcha et adressa quelques mots à l'inconnue.

Moïra s'aperçut alors que cette bête n'avait rien de bien méchant, qu'elle s'agitait en tous sens uniquement parce qu'elle était coincée dans un sas... La jeune femme baissa son arme, la gardant tout de même sur le bras par précaution. Les troufions commencèrent à se rapprocher sur ordre de leur chef, et ne trouvèrent qu'une solution au problème de la créature : poser leurs mains sur son derrière et pousser.
Moïra imagina cette scène en photo et ricana discrètement. La bête devait se trouver bien mal à l'aise...

Elle se décida enfin à faire quelque chose. Elle rangea son P90 et se mit à pousser, elle aussi.
Au bout de quelques douloureuses secondes pour la créature, celle-ci fut enfin libérée du sas, et se retrouva dans l'immense grotte qui abritait la cité. Droit devant, une grande porte surprotégée par des gardes s'offrait au petit groupe. Une impressionnante muraille encerclait Agarta, ne laissant apercevoir aux visiteurs que quelques tours. Le mystère régnait encore.

Moïra s'avança vers la créature, et l'aida à se relever. A ce moment-là, elle se rendit compte qu'elle n'était pas si monstrueuse qu'elle l'avait cru... En réalité, elle était presque humaine. Elle avait l'air particulièrement effrayée. La jeune femme décida donc de se montrer sympathique, ce qui n'était pas courant :


- Bonjour... Vous n'avez rien ? Je m'appelle Moïra Tigrane, ajouta-t-elle en tendant la main en sa direction.

Moïra réagit qu'à sa façon, elle devait paraître étrange, elle aussi. Elle était vêtue d'un pantalon de cuir, d'une veste en cuir sur un débardeur rouge, et chaussée de boots. Très masculine, et encombrée d'armes de toutes sortes.
Elle tenta tout de même de renfrogner sa nature antipathique en lui adressant un tout petit sourire.
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Kateya Mahala

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MessageSujet: Re: Une tranquille petite traversée   Une tranquille petite traversée Icon_minitimeMer 9 Juil - 18:44

Qu'était-ce ?

Kateya avait sentit plusieurs petites choses se posées sur son séant et la poussait en avant. Etait-ce des hommes ou des monstres ? Alliés ou ennemis ? Dans le doute Kateya se laissa faire et les aida même de ses petits bras ; elle déciderait ensuite de quoi faire. Bien sûr elle était gênée, même son ami intime n'avait jamais osé la toucher de la sorte, mais sans doute ses créatures derrière ne savait sans doute même pas qu'est ce qu'ils poussaient. Kateya avait cru entendre des hurlements, des ordres ; sans doute un groupement de soldats ou quelque chose comme ça.

Au bout de quelques minutes, et grâce aux efforts de tous, un bruit de métal glissant contre la roche se fit entendre. L'aile en papier passa la première, laissant plus de place et de liberté pour l'autre aile en fer pour passer. Le bruit fut insuportable mais passager. Kateya respira alors normalement et profita de pouvoir à nouveau bouger pleinement, même si elle était épuiser et à terre. Une main vint lui proposer de l'aide pour se lever, la jeune ange accepta volontier et se redressa avec cet appuit avant de prendre sa clef et se tenir droite, sa queue de dragon effectuant une sorte de S géant mais au moins la jeune femme avait de la stabilité. La personne devant elle semblait presque aussi jeune qu'elle, physiquement, était-ce une femme ou un homme, Kateya n'en savait rien, son visage était trop androgyne pour qu'elle puisse se prononcer.
Elle recula légèrement pour laisser le gros de la troupe passer devant elle et rejoindre la citée qui se trouvait sur la gauche de l'ange, droit devant... Un peu plus loin...

Kateya se demandait si elle devait répondre au soldat qui se tenait devant elle, elle ne devait pas se lier d'amitié si elle ne voulait pas que cette personne souffre... En même temps Kateya était si seule que parler lui ferait certainement du bien... Moïra... tel était son nom...
Un nom féminin, c'était donc une femme ? Elle était pourtant très masculine, Kateya secoua la tête de haut en bas et suivit la troupe en ondulant son corps sur le sol. Le plafond était encore trop proche de sa tête pour qu'elle se permette de voler, même si ça aurait été plus rapide.
Intérieurement l'ange regrettait de ne pas avoir répondut en pjrase à la soldat, elle lui avait donné son nom mais pas l'ange. C'était impoli.
Un nouveau sas leur faisait face, à vue d'oeil Kateya pourrait passer avec aisance. Kateya s'arrêta au sommet et regarda devant elle, la citée leur faisait face, aussi mystérieuse et fermée que ces galleries de roches. Kateya resta sur place jusqu'à se que la soldate passe à coté d'elle.
L'ange prononça alors, d'une voix cassée et rauque :

"Kateya Mahala."
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